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Jane Birkin
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« J'ai écrit mon journal à partir de 11 ans, adressé à Munkey, mon confident, ce singe en peluche, gagné dans une tombola. Il a dormi à mes côtés, il a partagé ma vie avec John, Serge, Jacques, il a été le témoin de toutes les joies et toutes les tristesses. Devant la dévastation de mes enfants, j'ai déposé Munkey dans les bras de Serge dans le cercueil où il reposait, tel un pharaon. Mon singe pour le protéger dans l'après-vie.
En relisant mes journaux, il me semble flagrant qu'on ne change pas. Ce que je suis à 12 ans, je le suis encore aujourd'hui. Les journaux sont forcément injustes, on montre ses cartes, il y a des versions de tout, mais là, il n'y a que la mienne. J'ai pris comme principe de ne rien arranger, et croyez-moi, j'aurais préféré avoir
des réactions plus sages que celles que j'ai eues... ».
On croyait tout connaître de Jane Birkin, tant elle fait partie de notre histoire depuis cinquante ans, jusqu'à ce livre qui nous fait vivre une époque flamboyante, du Swinging London au Saint-Germain-des-Prés des années 70, et donne à lire le quotidien d'une grande amoureuse, désopilante et fantasque, et d'une artiste exceptionnelle.
Un journal à la fois intime et universel.
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Post-scriptum ; le journal intime de Jane Birkin ; 1982-2013
Jane Birkin
- Fayard
- Documents
- 23 Octobre 2019
- 9782213713700
« Post-scriptum, c'est le démarrage d'une autre vie. C'est le début de ma vie avec Lou... de mon union avec Jacques Doillon... Kate qui était enfant dans le premier tome est maintenant teenager, Charlotte a neuf ans...
C'est une autre ouverture, une autre balade, plus curieuse des autres, découvrant une trajectoire, des concerts, des tournées, des pièces de théâtre, voyageant, parfois m'attachant à des personnes qui n'étaient pas seulement mes parents, ma soeur Linda, mon frère Andrew, les enfants... Mais l'amour est toujours l'amour, peut-être même qu'il y en avait un autre dans cette vie vieillissante, dans mon cas solitaire, accompagnée par mes amis... Il me semble que j'ai plutôt navigué dans un optimisme absolument infondé. J'ai cessé d'écrire ce journal à Besançon le 11/12/13... en apprenant la mort de Kate... »
Après les Munkey Diaries, qui retraçaient la vie de Jane Birkin de 1957 à 1982, ce second volume de son journal intime, débutant après sa séparation d'avec Serge Gainsbourg, traverse les années 1980 à 2000 avec une fantaisie et une grâce qui lui permettent de surmonter bien des épreuves. On retrouve avec bonheur une mère dévorée d'amour pour ses trois filles qui s'émancipent et entrent dans l'âge adulte, une amoureuse tiraillée entre passion, jalousie et nostalgie, une artiste engagée qui s'épanouit et enchante le monde entier. -
'Birkin's diary entries ultimately expose the toxic reality behind one of the 20th century's most glamorous couples' Sunday Times
Jane Birkin - actor, singer, songwriter and model - may have shot to worldwide fame through her relationship with Serge Gainsbourg and their controversial hit 'Je t'aime ... moi non plus', but it would be her wide-ranging acting career and effortless Gallic cool that was to truly cement her legacy as an enduring international icon.
In Munkey Diaries, the first volume of Birkin's diaries, we're transported to the flamboyant world of London in the Swinging Sixties and Saint-Germain-des-Prés in the 1970s. There are intimate revelations about Jane's tumultuous life with her first husband, the composer John Barry, and her romantic and professional collaboration with Gainsbourg, as well as keen insights into her working life as an actor, singer and songwriter.
Far from an ordinary memoir, Munkey Diaries offers a unique window into the early life and loves of an extraordinary woman. -
De nombreux récits sur la Résistance racontent la vie des réseaux ayant contribué à libérer la France. Plus rares sont les témoignages des " étrangers de l'ombre " qui, au prix des mêmes périls que les résistants français, ont aidé ces derniers à s'approvisionner en armes, en argent et en faux papiers, leur ont prêté main forte lors d'actes de sabotage, ont assuré les communications avec les Alliés et exfiltré les aviateurs dont les appareils étaient tombés en territoire occupé.Ces étrangers - dont nombre de Canadiens francophones - appartenaient au SOE (Special Operations Executive) et au MI9 (le 9e bureau militaire britannique). L'un de ces réseaux, ayant permis de sauver 307 agents et soldats alliés en frôlant cent fois la mort, était mené par l'officier québécois Lucien Dumais, assisté de son compatriote Raymond Labrosse. Son nom ? Le réseau Shelburn.Ce livre raconte l'histoire secrète de ce réseau et des héros qui le composaient, sans qui rien n'aurait été possible. Et réhabilite, ainsi, un pan de l'Histoire crucial et injustement méconnu.