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Littérature traduite
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Un roman puissant sur l'aliénation adolescente et la complaisance des adultes dans un monde en mutation.Finaliste du National Book Award.
L'un des dix meilleurs livres de l'année selon le New York Times.
Un roman prophétique sur le monde de demain.Une grande maison de vacances au bord d'un lac. Cet été-là, cette maison est le domaine de douze adolescents à la maturité étonnante et de leurs parents qui passent leurs journées dans une torpeur où se mêlent alcool, drogue et sexe.
Lorsqu'une tempête s'abat sur la région et que le pays plonge dans le chaos, les enfants - dont Eve, la narratrice - décident de prendre les choses en main. Ils quittent la maison, emmenant les
plus jeunes et laissant derrière eux ces parents apathiques qu'ils méprisent et dont l'inaction les exaspère autant qu'elle les effraie. -
L'événement Lot49 de la rentrée !
16 juillet 1945 : la première bombe atomique est testée à Los Alamos, au Nouveau-Mexique. Au moment précis de l'explosion, Robert Oppenheimer, Leo Szilard, et Enrico Fermi, trois des principaux scientifiques responsables du projet, sont mystérieusement " transportés " en 2006, à Santa Fe. Recueillis par Ann, une bibliothécaire, et son mari Ben, les trois savants déboussolés vont devoir s'adapter tant bien que mal à leur nouvelle vie, à ce monde que leurs recherches ont radicalement changé. Après avoir appris l'horreur engendrée par leur création (Hiroshima...) et les funestes conséquences de celle-ci, ils ne tarderont pas à entreprendre, des États-Unis au Japon, une croisade pacifiste visant au désarmement total. Entre l'armée et les scientifiques, qui voient leur " apparition " d'un mauvais oeil, les groupes religieux, qui assimilent leur présence à une prophétie biblique, et une société médiatique qu'il faut apprendre à manipuler, nos trois larrons vont avoir fort à faire. À partir de cette hypothèse irréelle, Lydia Millet nous livre avec ce roman désopilant et d'une imagination réjouissante une remarquable analyse des liens qu'entretiennent science, politique et religion dans l'Amérique d'aujourd'hui, et l'effort permanent de ces trois domaines pour diriger nos vies. En reine des dialogues et des situations absurdes, l'auteur, à -
" Prodigieux ! "New York Times" Un cocktail d'histoire et d'imagination à la fois complexe et réjouissant. Une réussite majeure ! "The Washington Post
1994, Californie du Sud. Hal Lindley, modeste fonctionnaire, sent sa vie lui échapper. Sa vie conjugale, en particulier. Sa femme, Susan, pourra-t-elle se contenter longtemps d'un homme comme lui, sans horizon, ni matériel ni spirituel ? Ne va-t-elle pas bientôt lui préférer son collègue de bureau, Robert, jeune loup aux dents longues ? Dans une tentative éperdue de changer la donne, Hal prend le pari fou de quitter son existence désespérément normale pour partir à la recherche de T., le patron de Susan, mystérieusement disparu dans la jungle du Belize. Mais à vouloir ainsi dépasser ses propres limites pour regagner son respect et celui des autres, Hal ne réalise pas encore à quel point, en quittant la civilisation, il se met en danger. Après Comment rêvent les morts, Lydia Millet se demande s'il nous est possible d'aller au-delà de nos vies paralysées par les conventions. À la fois satire sociale, comédie noire et drame psychologique, ce voyage au coeur des ténèbres d'un Américain moyen en pleine crise existentielle, qui rappelle J. M. Coetzee et Paul Auster, a été salué, lors de sa sortie aux États-Unis, par une critique unanime." Prodigieux ! " The New York Times " Un cocktail d'histoire et d'imagination à la fois complexe et réjouissant. Une réussite majeure ! " The Washington Post -
Amour, solitude et taxidermie.Peu de temps après la perte de son mari, Susan hérite de la maison d'un oncle qu'elle connaissait peu. En visitant la demeure, elle découvre la passion de celui-ci pour la taxidermie. Chaque pièce, chaque chambre est remplie d'animaux empaillés, certains dans des décors artificiels. Dans cette immense maison, Susan évolue et se perd au milieu des animaux, des souvenirs et des fantômes. Mais, bientôt, sa solitude est rompue. Jim, un homme marié qu'elle fréquente, la rejoint, ainsi qu'un groupe de vieilles femmes. En même temps que la paix, Susan cherche l'entrée d'un sous-sol figurant sur les plans de la maison mais dont l'accès demeure introuvable...
Dans la veine de
Comment rêvent les morts et
Lumières fantômes, Lydia Millet interroge la manière dont nous affrontons la perte, que ce soient la mort, la séparation ou l'extinction. Peut-on vivre avec ses peurs et ses fantômes ? Sont ici décortiqués, avec un talent et une précision hors pair, les ressorts de l'anéantissement et de la réinvention, de la parentalité et de l'acceptation.