A l'attention des élus et des collectivités publiques, un petit cours sur l'arbre, sa gestion, sa culture, son rôle dans la ville, afin qu'il ne soit pas menacé par l'incompétence, le souci de rentabilité, le principe de précaution, le mépris de tout ce qui vit, quand ce n'est pas tout cela à la fois. Plaidoyer pour l'arbre des rues et des parcs.
Ce livre s'adresse à toute personne désirant préserver l'endroit où elle vit, la terre, et se battre pour un monde où l'homme vivrait en harmonie avec la nature. En s'appuyant sur L'Art de la guerre de Sun Tzu, le Gorin No Sho ou Traité des cinq roues de Miyamoto Musashi, la philosophie des médias développée par Marshall McLuhan ainsi que sur sa propre expérience de terrain, Paul Watson, cofondateur de Greenpeace et capitaine du Sea Shepherd, désigné par le Time Magazine comme l'un des héros écologistes du XXe siècle, actualise ici son guide de stratégie générale et la philosophie biocentrique (par opposition à l'anthropocentrie) qui en découle.
Ce premier numéro de la nouvelle formule des Carnets du paysage s'intéresse à la marche : que signifie le regain d'intérêt dont elle bénéficie ? Que nous apprend-elle sur notre rapport au temps, à la performance, et surtout sur notre présence au monde et au paysage ?
Ce numéro de la revue s'intéresse à l'oeuvre du paysagiste Jacques Simon (1929-2015), qui fut l'un des principaux animateurs du renouveau de la pensée et de la pratique paysagères, en France et au-delà, à partir des années 1950.
Alors qu'il s'agit désormais de s'interroger sur les conditions concrètes et matérielles de la réalisation d'un monde vraiment habitable, la dimension sanitaire de l'environnement ne doit pas être placée au second plan, loin derrière les données économiques et sociales. Car la santé participe pleinement de la réalisation de soi et de la liberté.
Les îles sont des territoires de projets, politiques, sociaux et économiques. Ce sont des lieux d'une vie singulière. Les Carnets du Paysage n°35 s'interroge sur les possibilités de les préserver, de les entretenir et de les projeter vers le futur, et sur les actions à mettre en oeuvre dans cette perspective. Îles maritimes, mais aussi îles fluviales, voire îles urbaines, mais aussi îles proches et îles lointaines sont analysées dans une perspective à la fois anthropologique, artistique et projectuelle.
Ce numéro des Carnets du paysage fait écho à l'exposition, « Le temps de l'île » qui se tiendra au Mucem (Marseille) de juillet à novembre 2019.
Ce numéro des Carnets du paysage explore le thème de l'énergie dans deux directions principales. Il s'agit d'abord d'envisager les paysages liés à la production d'énergie. Cette première réflexion montre que la planète recèle une énergie naturelle puissante et parfois dévastatrice, s'exprimant à travers les tremblements de terre, les éruptions volcaniques..., à savoir l'énergie du socle terrestre, dont témoignent certains paysages. C'est à partir de là qu'émerge la seconde direction que ce numéro des Carnets souhaite envisager à savoir la question de l'énergie du paysage, adoptant une dimension peu-têtre plus métaphorique : celle de l'énergie que procure aux hommes la fréquentation des paysages. Espaces sacrés, paganisme : les paysages ruraux, mais parfois aussi les paysages urbains sont parsemés de ces voies, de ces temples, de ces marques diverses qui en font des espaces de spiritualité, de soulagement et d'élévation.
Ces dernières années ont vu la résurgence de la question du chantier, comme espace et moments décisifs du développement du projet de paysage contribuant à en modifier profondément le sens.
Ce numéro aborde cette thématique sous l'angle de la réévaluation des métiers du chantier, de la reconnaissance de son espace-temps et de la prise de conscience de sa dimension sociale.
Partant du principe qu'il suffit de connaître les chevaux pour les aimer, cet ouvrage s'adresse à tous, piéton indécrottable ou hippologue distingué, afin de nous proposer une promenade dans l'univers du cheval. Un tour du monde en 80 petits textes réunis en abécédaire : accumulation d'anecdotes, de faits minuscules, contribuant à montrer, à travers le temps et l'espace, l'incroyable proximité du cheval et de l'homme.
Dossier : un paysage à vivre Garett Eckbo (1910-2000)
La question du projet de paysage est au centre de ce numéro. Sa singularité est interrogée dans ses aspects théoriques et pratiques.
Ce numéro des Carnets du paysage se propose d'explorer les liens entre le phénomène d'"invention" ou de "création" humaine des plantes et la "fabrication" tant matérielle que symbolique des paysages. Comment ces deux échelles interagissent-elles ? Quelles sont les pratiques, mais aussi les représentations, par lesquelles ces liens se tissent ?
Ouvrage publié en vue de la 4ème participation de Ready Cash au Grand Prix d'Amérique en janvier 2014. À cette occasion et pour la première fois dans l'histoire des courses, ce trotteur d'exception, déjà plusieurs fois vainqueur de cette course mythique, pourrait affronter plusieurs de ses propres enfants.
Du paysage à l'assiette, et de l'assiette au paysage : le n°25 des Carnets du paysage souhaite faire apparaître les liens matériels, symboliques et géographiques qui les unissent en explorant la relation entre les transformations des régimes alimentaires et celles des régimes de production et d'utilisation des paysages.
Le paysage intéresse. li nous regarde, ça nous regarde. La manière de le voir nous préoccupe autant que celle de le fabriquer.
Il y a les images de paysages. Toutes les peintures, les photographies, les films, les cartes postales, les plans, les mappemondes, il faut les fixer du regard avec la distance appropriée pour les appréhender. Ces objets, dont certains portent justement le nom de paysage, donnent parfois l'impression que le paysage est une image. Le paysage serait alors une entité fixe et donc aisée à contenir, à soumettre. On pourrait le tenir, pour ainsi dire, d'une main, au bout des yeux. Même si, par jeu, paresse, croyance, commodité ou raison, l'homme préfère manipuler des symboles plutôt que des réalités, le paysage ne peut pourtant pas se réduire ainsi à sa présence dans les images. Le paysage se traverse, on l'habite, on le fabrique sans cesse, avec des projets volontaires, modestes ou ambitieux, avec sa fréquentation, ou encore son abandon. Certains lieux industriels, agricoles, dont l'usage créait la relative stabilité, sont en train de prendre des allures déprimantes pour quelques-uns d'entre nous et réjouissantes pour d'autres ...
L'anthropologie et l'histoire des religions ont mis en relief la place du sacré dans l'organisation de l'espace par les sociétés humaines. Certains paysages, en particulier, peuvent être considérés comme des incarnations, dans l'espace géographique, de cette aspiration au sacré. Les Carnets du paysage n°31 envisage la dialectique du sacré et du paysage sous trois angles complémentaires : le paysage comme incarnation du sacré, la rupture entre sacré et espace paysager et la dialectique au travers du principe de transfert. De la gestion contemporaine des cimetières à la montée des préoccupations écologiques, en passant par certaines formes d'expression de l'art contemporain, on montrera comment certains pans sécularisés de nos sociétés conservent ou reconstruisent un rapport au monde empreint de sacralité.
Dossier sur le patrimoine du paysage.
Ce numéro inaugure une série de "varia" où se côtoient des articles aux thématiques libres.
La parution de ce numéro marque les dix ans de la revue. L'idée des bouts du monde a toujours emporté avec elle un amour des lointains, un désir de franchir les frontières et de découvrir de nouveaux horizons. Le dossier que présente ce numéro des Carnets du paysage cherche avant tout à conjuguer des lieux d'interrogation et des moments d'expérience, au sein desquels les sens des bouts du monde ont été mis en jeu, tant sur le plan théorique que sur celui des pratiques de l'espace et des paysages. Ce numéro est accompagné d'un CD contenant une pièce musicale de Cécile Le Prado.
Un double numéro consacré au jardinage, aux relations qu'il entretient avec le paysage, la campagne, les arbres, la ville, la littérature, le droit ou encore... la révolution.
Ce nouveau numéro des Carnets du paysage aborde la question des chemins, des routes, à la fois comme objets d'étude et comme lieux d'expérience.
Un numéro double, accompagné d'un DVD, qui propose une réflexion autour de la danse et de la chorégraphie, pour explorer les actes créateurs du jardinier et du paysagiste, la dimension de leurs gestes, leur manière de dessiner et d'inventer l'espace.