Filtrer
Formats
Accessibilité
Prix
Métailié
-
Quand on aime Hannelore Cayre autant s'en donner à coeur joie !
Commis d'office, Ground XO, Toiles de maître, Comme au cinéma, La Daronne, Richesse oblige, Les Doigts coupés.
Tous les romans de cette autrice à l'humour si caustique sont dans cette intégrale qui vous permettra de (re)découvrir qu'avant La Daronne il y a eu Christophe Leibowitz, un avocat pénaliste avec un don pour se mettre dans de sales draps.
Un regard critique, terriblement féroce et drôle sur notre société. Quand on y goûte, difficile de lâcher un de ses romans sans l'avoir fini. -
Traite des noirs au siecle des lumieres (la)
Collectif
- FeniXX réédition numérique (Métailié)
- De mémoire d'homme
- 9 Mai 2017
- 9782402168427
On ne saurait exagérer l'inhumanité des Capitaines à l'égard de leurs esclaves, lorsqu'ils sont pressés de s'en défaire. C'est ce que prouve l'exemple suivant. Un officier Négrier qui avait été chargé de vendre un certain nombre d'esclaves, reconduisait au vaisseau ceux qu'on avait rebutés. Il aperçut parmi eux un Nègre qui avait l'air vigoureux, mais qui ne marchait qu'avec répugnance. Il lui rendit à l'instant sa vivacité à coups de canne. L'esclave tomba. L'Officier le releva, en lui donnant une nouvelle correction. L'esclave n'eut pas fait dix pas qu'il chancela de nouveau. Cette seconde chute étant regardée comme l'effet d'une criminelle opiniâtreté, l'Officier furieux redoubla les coups, et ne cessa que quand il eut vu ce malheureux expirer à ses pieds. L'Européen ordonna froidement aux autres esclaves de traîner leur compatriote au rivage, où sans cérémonie et sans délai il le fit jeter dans la mer. Ce cadavre fut bientôt dévoré par les requins, dont le port était rempli. Ce poisson vorace avait suivi les vaisseaux depuis la côte d'Afrique ; et comme on avait transporté 10 000 esclaves dans cette saison, il fut attiré par la puanteur et constamment nourri par les cadavres qu'on jetait à chaque heure en mer, pendant la traversée.
-
Espagne romantique (l')
Collectif
- FeniXX réédition numérique (Métailié)
- De mémoire d'homme
- 9 Mai 2017
- 9782402169455
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
-
Nasser, C. Alliot-Lugaz, F. Ardant, R. Aron, E. Avice, Ben Barka, H. Beuve-Méry, P. Boulez, G. Bounoure, H. Bourguiba, C. Bretécher, G. Buis, M. Callas, G. Catroux, Chaval, Chou En-Lai, G. Duby E. Labonne, M. Foucault, Giap, J. Gachassin, J.K. Galbraith, G. Garbo, De Gaulle, Hô Chi Minh, R. Kennedy, H. Kissinger, K. et M. Labèque, P. Lamour, R. Leenhardt, W. Lippman, A. Malraux, C. Malraux ; Mao Tsé-Toung, L. Massignon, P. Mendès-France, M. Hadj, H. Michaux, P. Milliez, A. Minkowski, A. Mnouchkine, P. Mus, Mme Nhu, A. Ordonez, G. Picon, G. Pompidou, A. Prucnal, J.-P. Rives, Sadate, A. Savary, G. Schéhadé, N. Sihanouk, H. Tazieff, G. Tillion. Hommes d'État, artistes, sportifs, intellectuels ; en un tiers de siècle, Jean Lacouture les a approchés, connus, appréciés. Voici une cinquantaine de portraits qui, dans leur provocante diversité, révèlent une curiosité rare et bigarrée. Un défilé de têtes bien faites ou bien pleines, mis en scène par une plume acérée et tendre. Un travelling arrière passionné et sinueux, a l'image de notre époque.
-
Leur virilité s'exhibe, leur tendresse s'affiche. Ils partagent le plaisir avec leurs enfants, ils savent changer une couche-culotte. Ils ont rompu avec le rigorisme et l'autorité de leur propre père pour devenir ce qu'il est convenu d'appeler, aujourd'hui, les nouveaux pères. Reste à savoir si la loi et la fonction du père ont changé et comment, ou bien s'il ne s'agit pas, tout simplement, d'une affaire d'hommes obligés de repenser leur corps, leur identité, à l'épreuve de l'irrésistible ascension des femmes, et du bébé devenu, parce que rare, la plus sûre valeur refuge de notre société. En même temps que la politique spectacle, la paternité spectacle est entrée dans nos moeurs. Résiste-t-elle à la réalité de la vie quotidienne et à la froideur des statistiques ? C'est là toute la problématique posée par De père en père qui a pris le parti de donner la parole aux pères nés des ruptures du printemps 68. Des paroles d'hommes qui constituent en quelque sorte le portrait d'une génération.
-
Homme a l'oreille coupee (l')
Georges M. Mattei
- FeniXX réédition numérique (Métailié)
- Troubles
- 12 Mai 2017
- 9782402175630
Qui a coupé l'oreille du Major Auctioneer devant l'immeuble de Grisbies' London ? Vincent qui sait que le bourgogne est une des nombreuses façons d'arriver à la vérité déclenche sans le savoir une guerre ravageuse entre les parrains de l'art. Sothy's contre Grisbies', le roi des supermarchés américains Trucman contre l'usurier gangster japonais Hachimoto. L'enjeu : le contrôle planétaire du marché de l'art. Qui se cache derrière le sigle des BR (Brigades du Rasoir) et leur tract dénonciateurs ? Le commissaire Anna Mancini apprendra que tout n'était pas dans la mémoire de ses ordinateurs et qu'il faut aussi compter avec la mémoire des pierres...
-
Retour a phnom penh : le cambdoge du genocide a la colonisation
Phandara Y
- FeniXX réédition numérique (Métailié)
- 12 Mai 2017
- 9782402177849
En 1978, Y Phandara, étudiant à Paris et militant du FUNK, retourne au Cambodge pour aider à la reconstruction révolutionnaire de son pays. Il part avec sa femme enceinte, sa fille de trois ans et son jeune frère. À leur arrivée dans le Cambodge des Khmers rouges ils sont aussitôt envoyés dans un camp où sont rassemblés et rééduqués les intellectuels contaminés par l'Occident. Ce qu'il découvre le foudroie. Ce régime, pour lequel il a tout quitté, n'est qu'une sombre fabrique de robots fanatisés, d'où est proscrite toute forme d'échanges humains, culturels et affectifs et où les seules lois sont le silence, l'autoaccusation, la délation et la dévotion au dictateur. Les témoignages qu'on a pu lire jusqu'ici, avaient dévoilé l'atrocité du système, les assassinats à coups de pioche, la famine, les charniers, Y Phandara met moins l'accent sur le sang versé, que sur la bêtise étalée. À un moment où les responsables de ce génocide et de l'invasion vietnamienne, sont toujours candidats au pouvoir, ce témoignage contribuera peut-être, après quelques autres, à éviter au peuple khmer un nouvel holocauste.
-
El Duende est un lutin, un vrai, qui vit à El Bolsón, en plein coeur de la Patagonie.
Petit, ridé, avec des oreilles pointues, on le croirait tout droit sorti d'un roman de Tolkien.
Personne ne sait d'où il vient, personne ne connaît sa langue. Dès lors, toutes les histoires sont permises...
-
Dans ces récits solidement construits, l'inquiétante étrangeté de chaque détail, l'horreur toute simple - donc absolue - et le réalisme alimentent un fantastique aussi spectaculaire qu'ambigu ; fantastique parfois drôle, plausible et cependant opaque comme peuvent l'être la monstruosité de l'enfance, la force tonnante d'un fleuve en crue, l'inclémence de la forêt vierge et des midis tropicaux ou le délire de l'homme, délire de l'amour ou folie de mort.
-
Dans ces récits solidement construits, l'inquiétante étrangeté de chaque détail, l'horreur toute simple - donc absolue - et le réalisme alimentent un fantastique aussi spectaculaire qu'ambigu ; fantastique parfois drôle, plausible et cependant opaque comme peuvent l'être la monstruosité de l'enfance, la force tonnante d'un fleuve en crue, l'inclémence de la forêt vierge et des midis tropicaux ou le délire de l'homme, délire de l'amour ou folie de mort.
-
Dans ces récits solidement construits, l'inquiétante étrangeté de chaque détail, l'horreur toute simple - donc absolue - et le réalisme alimentent un fantastique aussi spectaculaire qu'ambigu ; fantastique parfois drôle, plausible et cependant opaque comme peuvent l'être la monstruosité de l'enfance, la force tonnante d'un fleuve en crue, l'inclémence de la forêt vierge et des midis tropicaux ou le délire de l'homme, délire de l'amour ou folie de mort.
-
Dans ces récits solidement construits, l'inquiétante étrangeté de chaque détail, l'horreur toute simple - donc absolue - et le réalisme alimentent un fantastique aussi spectaculaire qu'ambigu ; fantastique parfois drôle, plausible et cependant opaque comme peuvent l'être la monstruosité de l'enfance, la force tonnante d'un fleuve en crue, l'inclémence de la forêt vierge et des midis tropicaux ou le délire de l'homme, délire de l'amour ou folie de mort.
-
Dans ces récits solidement construits, l'inquiétante étrangeté de chaque détail, l'horreur toute simple - donc absolue - et le réalisme alimentent un fantastique aussi spectaculaire qu'ambigu ; fantastique parfois drôle, plausible et cependant opaque comme peuvent l'être la monstruosité de l'enfance, la force tonnante d'un fleuve en crue, l'inclémence de la forêt vierge et des midis tropicaux ou le délire de l'homme, délire de l'amour ou folie de mort.
-
Dans ces récits solidement construits, l'inquiétante étrangeté de chaque détail, l'horreur toute simple - donc absolue - et le réalisme alimentent un fantastique aussi spectaculaire qu'ambigu ; fantastique parfois drôle, plausible et cependant opaque comme peuvent l'être la monstruosité de l'enfance, la force tonnante d'un fleuve en crue, l'inclémence de la forêt vierge et des midis tropicaux ou le délire de l'homme, délire de l'amour ou folie de mort.
-
Un boa géant prend la tête de la révolte des animaux, un homme au fond d'un puits contemple, fasciné, les étincelles d'une mèche de dynamite qui grésille à ses pieds, un général brésilien en haillons surgit un beau jour de la jungle, les deux derniers clients du bar savourent en silence l'alcool à brûler de la lampe, un paysan heureux se repose au soleil, une machette plantée dans le ventre...
Ce sont eux les exilés, les proscrits de Misiones, des animaux fabuleux et des hommes déchus.
-
Un boa géant prend la tête de la révolte des animaux, un homme au fond d'un puits contemple, fasciné, les étincelles d'une mèche de dynamite qui grésille à ses pieds, un général brésilien en haillons surgit un beau jour de la jungle, les deux derniers clients du bar savourent en silence l'alcool à brûler de la lampe, un paysan heureux se repose au soleil, une machette plantée dans le ventre... Ce sont eux les exilés, les proscrits de Misiones, des animaux fabuleux et des hommes déchus.
-
Ce désert est celui de la solitude du colon de Misiones qui meurt de fièvre au fond de la jungle en laissant seuls ses deux petits enfants, celui de cette forêt dans laquelle disparaît le péon brésilien dont on ne retrouve que les bottes.
Celui des animaux qui parlent et voient la mort, celui du monde étrange et angoissant de Horacio Quiroga.
-
Dans ces récits solidement construits, l'inquiétante étrangeté de chaque détail, l'horreur toute simple - donc absolue - et le réalisme alimentent un fantastique aussi spectaculaire qu'ambigu ; fantastique parfois drôle, plausible et cependant opaque comme peuvent l'être la monstruosité de l'enfance, la force tonnante d'un fleuve en crue, l'inclémence de la forêt vierge et des midis tropicaux ou le délire de l'homme, délire de l'amour ou folie de mort.
-
Chaque nouvelle de Anaconda est un labyrinthe hallucinant dans lequel l'homme se débat contre la mort et où le lecteur est aux prises avec l'effroi, la surprise et l'humour.
Dans la lignée de ceux de Poe ou de Maupassant, ces contes nous entraînent dans un univers obsédant où le danger de la forêt tropicale, peuplée de reptiles et d'animaux étranges, domaine des fièvres et de la chaleur asphyxiante, s'unit aux menaces de la folie des ombres et des cauchemars. -
Chaque nouvelle de Anaconda est un labyrinthe hallucinant dans lequel l'homme se débat contre la mort et où le lecteur est aux prises avec l'effroi, la surprise et l'humour.
Dans la lignée de ceux de Poe ou de Maupassant, ces contes nous entraînent dans un univers obsédant où le danger de la forêt tropicale, peuplée de reptiles et d'animaux étranges, domaine des fièvres et de la chaleur asphyxiante, s'unit aux menaces de la folie des ombres et des cauchemars. -
Chaque nouvelle de Anaconda est un labyrinthe hallucinant dans lequel l'homme se débat contre la mort et où le lecteur est aux prises avec l'effroi, la surprise et l'humour.
Dans la lignée de ceux de Poe ou de Maupassant, ces contes nous entraînent dans un univers obsédant où le danger de la forêt tropicale, peuplée de reptiles et d'animaux étranges, domaine des fièvres et de la chaleur asphyxiante, s'unit aux menaces de la folie des ombres et des cauchemars. -
Chaque nouvelle de Anaconda est un labyrinthe hallucinant dans lequel l'homme se débat contre la mort et où le lecteur est aux prises avec l'effroi, la surprise et l'humour.
Dans la lignée de ceux de Poe ou de Maupassant, ces contes nous entraînent dans un univers obsédant où le danger de la forêt tropicale, peuplée de reptiles et d'animaux étranges, domaine des fièvres et de la chaleur asphyxiante, s'unit aux menaces de la folie des ombres et des cauchemars. -
Chaque nouvelle de Anaconda est un labyrinthe hallucinant dans lequel l'homme se débat contre la mort et où le lecteur est aux prises avec l'effroi, la surprise et l'humour.
Dans la lignée de ceux de Poe ou de Maupassant, ces contes nous entraînent dans un univers obsédant où le danger de la forêt tropicale, peuplée de reptiles et d'animaux étranges, domaine des fièvres et de la chaleur asphyxiante, s'unit aux menaces de la folie des ombres et des cauchemars. -
Chaque nouvelle de Anaconda est un labyrinthe hallucinant dans lequel l'homme se débat contre la mort et où le lecteur est aux prises avec l'effroi, la surprise et l'humour.
Dans la lignée de ceux de Poe ou de Maupassant, ces contes nous entraînent dans un univers obsédant où le danger de la forêt tropicale, peuplée de reptiles et d'animaux étranges, domaine des fièvres et de la chaleur asphyxiante, s'unit aux menaces de la folie des ombres et des cauchemars.